Antonio Guterres devant le Conseil de sécurité : «une solution à deux États»

«Je suis profondément inquiet concernant les claires violations du droit international humanitaire que nous voyons à Ghaza. Soyons clairs : aucune partie à un conflit armé n’est au-dessus du droit humanitaire international. Je réitère mon appel à un cessez-le-feu humanitaire immédiat», pour apaiser la souffrance immense des Palestiniens de la bande de Ghaza.
L’aide internationale est une goutte d’aide dans un océan de besoins.
En outre, les réserves en carburant de l’ONU à Ghaza vont être épuisées d’ici quelques jours. Ce serait un autre désastre. Sans carburant, l’aide ne peut pas être distribuée, les hôpitaux n’ont pas d’électricité, et l’eau ne peut être purifiée ni pompée. Même en ce moment de danger grave et immédiat, nous ne devons pas perdre de vue le seul fondement réaliste pour une paix et une stabilité durable : une solution à deux États.»

 

Sur le même thème

Multimedia