Le premier directeur du complexe électronique ENIE, Senoussi Hassen a tiré sa révérence suite à une longue maladie. Toute une page de l’histoire de cette grande entreprise est certainement tournée à travers cette disparition évocatrice d’une époque et rappelant les moments de démarrage de cette entreprise, de ses performances et de son rôle dans la vulgarisation de cette haute technologie de pointe sans compter sa part de contribution en faveur du recrutement massif de la femme, opéré dans les différentes chaînes de production. Et ce gestionnaire n’est pas étranger à cette forte intégration économique après avoir occupé le poste de directeur du complexe électronique. Il a encadré plus de 4 000 travailleurs dans une phase marquée par les luttes syndicales. Il s’est concentré sur la matérialisation du plan de charge des plus consistants se focalisant également sur la dynamisation de la formation. La dynamique donne naissance à la cellule de médecine de travail préservant la santé des travailleurs. Des nouveautés, il y en avait de par cette diversification d’une production et ce désir ardent de s’adapter au progrès technologique. Faut-il dans ce contexte rappelé que l’ENIE, autrefois Sonelec avait déjà initié le projet de confection des panneaux solaires pour s’illustrer dans le domaine des énergies renouvelables ? Des amis et des proches l’on accompagné à sa dernière demeure. Ils rappellent l’esprit managérial, la fermeté et l’engagement de ce cadre qui a fait de la promotion de cette entreprise un défi. Un cadre qui militait continuellement pour la promotion des capacités et l’émergence de l’élite. Il y a eu la création d’un centre de formation propre à l’ENIE et le développement d’un réseau d’entretien et de maintenance participant au développement de cette haute technologie de pointe qui est l’électronique.
A.B.
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De nouvelles structures éducatives
Un nouveau directeur de l’éducation, Chaâbane Mohamed a été nommé à la tête du secteur au niveau de la wilaya de Sidi Bel Abbès. Il aura pour tâche de parfaire le fonctionnement de l’ensemble des paliers et participer à la promotion pédagogique et organisationnelle du secteur. Il est appelé à accompagner un élan d’équipement, notamment au niveau su sud de la région, à rendre homogène une gestion des ressources humaines et à améliorer, entre autres, les résultats des épreuves de fin d’année. Tout en lui souhaitant une totale réussite dans sa mission, le wali Hadji Kamel a signifié les préoccupations et attentes du secteur de l’éducation en exposant au parallèle le programme de réalisation des structures éducatives en cours, les opérations d’éclairage des établissements des zones rurales à l’aide des énergies renouvelables et l’effort soutenu par l’Etat quant à la réduction d’un taux d’occupation par classe. Des engagements ont donc été pris pour accorder toute la priorité à ce secteur-clé du développement et contribuer à l’élévation du niveau par le suivi et le contrôle des programmes.
A.B.
