De notre correspondant : Farouk Zoghbi
Depuis son accession à la magistrature suprême du pays, en décembre 2019, le président de la République, en homme averti des réalités de l’Algérie profonde, a œuvré sans relâche sur tous les fronts, pour répondre aux attentes du citoyen, qu’il place au cœur de ses engagements dans l’instauration d’un État basé sur la justice sociale et l’égalité. Dans une dynamique marquée par la réalisation des 54 engagements de son programme, qu’il traduit chaque jour un peu plus dans la réalité, Abdelmadjid Tebboune a ainsi su relever bien des défis qui permettent à l’Algérie nouvelle aujourd’hui d’occuper la juste place qui lui revient dans le concert des nations. Sans cesse à l’écoute des préoccupations du citoyen à l’endroit duquel des décisions fortes ont été mises en œuvre à l’effet de préserver sa dignité et de lui permettre de jouir d’une place respectable dans la société, il a décidé, depuis son accession à la magistrature suprême du pays, d’introduire de nouvelles dispositions en faveur des couches défavorisées, et, d’une manière générale, éliminer les disparités territoriales en matière de développement.
Dans ce contexte, la révision à la baisse de l’IRG, la revalorisation des salaires et des pensions des retraités à l’effet d’améliorer le pouvoir d’achat, l’allocation chômage au profit de plusieurs centaines de milliers de primo-demandeurs d’emploi, le plan d’urgence décide en faveur de milliers de zones d’ombre… autant d’exemples révélateurs de l’intérêt accordé par le chef de l’état au citoyen. Toutes ces mesures qui vont dans le sens de la dimension sociale, laquelle constitue un des maillons forts dans le programme du Président et figure en bonne place dans la Constitution de 2020.
D’autant plus que ceci s’est traduit par ces mesures de porter l’eau, l’électricité, le gaz, l’assainissement, l’école, la route et la santé dans tous les coins reculés de l’Algérie profonde, où des dizaines de milliers d’Algériens vivaient dans l’oubli, livrés aux aléas d’une nature ingrate, sans que le moindre rayon de soleil vienne éclairer un coin de leur vie. Jusqu’à ce jour où le président de la République ne fasse toucher du doigt toutes ces réalités.
Une journée mémorable qui dessinera dès lors le nouveau destin de cette frange de la population rompant avec l’isolement, l’oubli et l’indifférence, pour aller à la découverte d’une vie digne et décente, reconnaissante sans limite au Président Tebboune.
Dans ces foyers où la vie reprenait son cours normal au cœur de ces zones montagneuses, l’école, fermée durant la décennie noire ou affectée par la main ravageuse de l’homme, propageait de nouveau le message du savoir et de la connaissance à tous ces enfants auxquels était servi un repas chaud à la cantine scolaire, disposant par la même du transport scolaire. Sur un autre front non moins important, le pipe défiait monts et montagnes, pour porter le gaz naturel dans tous ces foyers et mettre fin au calvaire de la bonbonne transportée à dos d’âne sur des kilomètres durant les hivers rigoureux. L’électricité illumine du coup toutes ces zones d’ombre et l’eau est à portée de main dans ces foyers où le petit écran accompagne du coup les soirées des familles.
Pour effacer cette tache sombre du paysage de l’Algérie indépendante et rattraper le retard considérable relevé sur bien des domaines sensibles affectant le quotidien de milliers d’Algériens, de nombreux chantiers ont été ouverts à travers le pays, souvent au cœur de zones montagneuses, pour la mise en œuvre d’un plan d’urgence décidé par le chef de l’État, qui a permis d’identifier plus de 12.571 zones d’ombre à travers le pays et y réaliser plus de 32.000 projets ayant nécessite une enveloppe de plus de 359 milliards de dinars.
Des acquis réalisés en effet, grâce à la volonté politique du président de la République qui a décidé d’affronter cette réalité amère et permettre à plus de 6 millions d’Algériens de rompre avec leur sombre quotidien et renouer avec l’espoir, et une vie digne et décente. Le président de la République, qui a promis de maintenir le caractère social de l’État, a en effet introduit de nouvelles dispositions en faveur des couches défavorisées, soulignant que «le citoyen est l’alpha et l’oméga de la République». L’ère des zones d’ombre est ainsi revoulue dans une Algérie nouvelle fondée sur la juste sociale et l’égalité.
F. Z.
