Par Salimaa Ettouahria
Suite aux changements positifs que connaît l’Algérie, grâce à la politique judicieuse du Président Tebboune, un intérêt grandissant a été accordé à la société civile, que les pouvoirs publics œuvrent à organiser afin d’en faire un partenaire «effectif» du développement. Le chef de l’État a toujours souligné que la société civile est le premier allié, pour préserver l’intégrité de l’État, et jugé nécessaire d’apporter tout le soutien et toutes les facilités aux organisations du mouvement associatif, pour les aider à organiser leurs rangs, d’autant que ces dernières constituent l’un des plus importants piliers de la société et un véritable défi que le pays voudrait relever, à travers la mise en œuvre d’une véritable vision. En outre, la société civile a toujours soutenu les réformes initiées par le chef de l’État, pour construire une Algérie nouvelle, qui a, à son tour, accordé une attention particulière à ce socle susceptible d’apporter un plus au développement du pays. En effet, l’implication effective de la société civile dans la vie de la nation constitue l’un des plus importants aspects de la démarche du Président Tebboune, qui, faut-il le rappeler, s’était déclaré candidat de cette même société civile et de la jeunesse. L’intérêt accordé par le chef de l’État à la société civile s’est manifesté, à travers les amendements du code électoral, lui ayant permis d’accéder à la responsabilité politique au sein des Assemblées élues. Cependant, la mission de cette société civile n’est pas spécifiquement politique, puisque son champ d’action est beaucoup plus large. La création de l’Observatoire national de la société civile (Onsc), dont la mission est de concevoir une vision moderne, démocratique et responsable d’une Algérie aspirant à un État de droit, témoigne également de l’ambition que nourrit le président de la République pour la société civile et la promotion de son rôle au sein de la société. Cela traduit, en effet, une détermination à construire cette alternative civile, avec des matériaux puisés dans la société algérienne. Il faut savoir, à ce propos ,que l’Onsc a déjà organisé plusieurs sessions, où des débats fructueux et contradictoires ont porté sur divers sujets en relation directe avec l’actualité, à travers des thématiques liées à la société civile.
S .E.
