
Outre les citoyens, des instances publiques ont affiché leur volonté d'acquérir une large variété de livres, selon M. Zaâmoume, qui a fait savoir que les visiteurs du pavillon ayant acheté ces ouvrages ont demandé précisément ces titres qu'ils connaissaient.
Les livres pour enfant ont également attiré des visiteurs, en témoignent les nombreux livres achetés par un Egyptien résident en Allemagne qui a aussi acquis deux ouvrages sur le patrimoine parus à l'occasion de la manifestation «Tlemcen, capitale de la culture arabe».
Par ailleurs, une architecte jordanienne était intéressée par des ouvrages de sa spécialité et un livre en tifinagh.
Les distinctions récemment remportées par ces œuvres, lors des principaux rendez-vous et concours littéraires à travers le monde, ont également contribué au renforcement de leur renommée.
Cela se confirme à travers les ventes réalisées au pavillon algérien, où les visiteurs recherchaient certaines de ces œuvres en se basant sur leur connaissance antérieure de l'écrivain et du roman.
Parfois, le choix était basé sur les suggestions d'amis ou sur la promotion. Les exemples sont nombreux, à l’image de ce visiteur égyptien résidant en France, à la recherche des oeuvres d'Amin Zaoui, Ahlam Mosteghanemi et d'autres, parce qu'il en a entendu parler.
La présence du roman algérien n’était pas visible uniquement au niveau de l'espace consacré à l'Algérie, elle s'est étendue au pavillon des publications égyptiennes de Dar El-Aïn.
Ces dernières années, cette maison a publié un grand nombre de romans algériens, dont les oeuvres d'Ismail Yabrir et de la romancière, poétesse et juriste Fadela Melhak.
Cette maison d’édition égyptienne a également publié un roman du critique, romancier et traducteur Mohamed Sari, ainsi que le roman The Hungarian du journaliste Rouchdi Redouane, qui a figuré sur la longue liste du Prix international de la fiction arabe 2022 (International Prize for Arabic Fiction-IPAF)aux côtés du roman Zanqat’ Al Talian de l'écrivain Boumediene Belkebir.
Les livres pour enfant ont également attiré des visiteurs, en témoignent les nombreux livres achetés par un Egyptien résident en Allemagne qui a aussi acquis deux ouvrages sur le patrimoine parus à l'occasion de la manifestation «Tlemcen, capitale de la culture arabe».
Par ailleurs, une architecte jordanienne était intéressée par des ouvrages de sa spécialité et un livre en tifinagh.
Les distinctions récemment remportées par ces œuvres, lors des principaux rendez-vous et concours littéraires à travers le monde, ont également contribué au renforcement de leur renommée.
Cela se confirme à travers les ventes réalisées au pavillon algérien, où les visiteurs recherchaient certaines de ces œuvres en se basant sur leur connaissance antérieure de l'écrivain et du roman.
Parfois, le choix était basé sur les suggestions d'amis ou sur la promotion. Les exemples sont nombreux, à l’image de ce visiteur égyptien résidant en France, à la recherche des oeuvres d'Amin Zaoui, Ahlam Mosteghanemi et d'autres, parce qu'il en a entendu parler.
La présence du roman algérien n’était pas visible uniquement au niveau de l'espace consacré à l'Algérie, elle s'est étendue au pavillon des publications égyptiennes de Dar El-Aïn.
Ces dernières années, cette maison a publié un grand nombre de romans algériens, dont les oeuvres d'Ismail Yabrir et de la romancière, poétesse et juriste Fadela Melhak.
Cette maison d’édition égyptienne a également publié un roman du critique, romancier et traducteur Mohamed Sari, ainsi que le roman The Hungarian du journaliste Rouchdi Redouane, qui a figuré sur la longue liste du Prix international de la fiction arabe 2022 (International Prize for Arabic Fiction-IPAF)aux côtés du roman Zanqat’ Al Talian de l'écrivain Boumediene Belkebir.