
Le directeur général de l’Institut national d’études de stratégie globale, Abdelaziz Medjahed, a affirmé à l’ouverture de travaux d’une journée d’étude sur le thème «Zones d’ombre-Barrage vert : enjeux et défis du développement durable de la Nouvelle Algérie», que les projets de développement prévus dans les zones d’ombre devront contribuer à consacrer la justice sociale au sein de ces localités et de traiter le phénomène du chômage notamment chez les jeunes», le qualifiant d’un «véritable cancer». Le directeur de l’INESG a mis en avant la nécessité de mobiliser les énergies humaines et les moyens du pays afin d’accélérer la cadence des projets devant profiter à ces zones d’ombre. «Cette politique volontariste initiée par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, reflète une nouvelle vision, qui était déjà ancrée en Algérie, à savoir la prise en charge réelles des préoccupations des citoyens vivant à travers le territoire national. Nous devons nous mobiliser pour relever ce défi et unifier nos forces en vue de préserver notre pays», a fait observer le directeur de l’INESG. Medjahed a évoqué le travail effectué par le chargé de mission à la Présidence de la République, Brahim Merad, qui a sillonné 32 wilayas pour évaluer les travaux engagés et pour s’enquérir des principales difficultés rencontrées par les autorités locales dans la réalisation des projets.
«Cette démarche de gestion des préoccupations des citoyens fait partie des actions concrètes de la Nouvelle Algérie», a tenu à mentionner le directeur ajoutant que près de 60% projets prévus ont été lancés dans ces zones.