La Coupe arabe FIFA Qatar 2025 n’a pas attendu pour offrir son lot de surprises. Dès la première journée, deux cadors annoncés ont chuté d’entrée : la Tunisie, d’abord, battue par une solide équipe syrienne (1-0), puis le Qatar, pays hôte, surpris à son tour par une formation palestinienne intrépide qui s’impose également sur la plus petite des marges (1-0), dans les arrêts de jeu de la partie.
Deux résultats retentissants qui donnent déjà le ton. Cette édition s’annonce ouverte, imprévisible et riche en rebondissements. Les hiérarchies sont chahutées qui laissent envisager que ceux qui sont considérés comme des outsiders risquent de se rebeller.
Plus tôt dans la journée, Doha avait vibré au rythme d’une cérémonie d’ouverture grandiose, célébration de l’identité arabe et du football régional. Le drapeau algérien y a été particulièrement mis à l’honneur, symbole du statut de l’Algérie, tenante du titre, dont l’ombre plane encore sur la compétition.
Le décor est planté. Au Qatar, rien ne semble écrit d’avance. La Coupe arabe 2025 vient peut-être de lancer une édition clairement palpitante.
A. A. A.
