Une guerre contre les enfants : Condamner le génocide

Au moment où les bombardements intensifs ont rAu moment où les bombardements intensifs ont repris sur Ghaza et que la guerre génocidaire livrée par l’entité sioniste au peuple frère de la Palestine s’intensifie, emportant de nombreuses vies humaines, ne faisant aucune distinction entre enfants, femmes, personnes âgées, des blessés même qu’elle achève dans les hôpitaux, des centaines de milliers d’hommes et de femmes libres se soulèvent à travers le monde, pour condamner ce génocide et appeler sans cesse à un cessez-le-feu et à la restitution des droits du peuple palestinien qui lutte pour sa terre et sa dignité depuis 75 ans. l’émission «Regard sur le monde» de la Chaîne III continue de consacrer ses grands dossiers à la question palestinienne et aux crimes de guerre, sollicitant bien des voix autorisées, des experts, représentants d’organismes humanitaires internationaux et des politologues, pour éclairer l’opinion publique et se joindre à la mobilisation des médias nationaux qui ne cessent de mettre à nu ces pratiques barbares de l’occupant israélien.Au moment où les bombardements intensifs ont repris sur Ghaza et que la guerre génocidaire livrée par l’entité sioniste au peuple frère de la Palestine s’intensifie, emportant de nombreuses vies humaines, ne faisant aucune distinction entre enfants, femmes, personnes âgées, des blessés même qu’elle achève dans les hôpitaux, des centaines de milliers d’hommes et de femmes libres se soulèvent à travers le monde, pour condamner ce génocide et appeler sans cesse à un cessez-le-feu et à la restitution des droits du peuple palestinien qui lutte pour sa terre et sa dignité depuis 75 ans. l’émission «Regard sur le monde» de la Chaîne III continue de consacrer ses grands dossiers à la question palestinienne et aux crimes de guerre, sollicitant bien des voix autorisées, des experts, représentants d’organismes humanitaires internationaux et des politologues, pour éclairer l’opinion publique et se joindre à la mobilisation des médias nationaux qui ne cessent de mettre à nu ces pratiques barbares de l’occupant israélien.epris sur Ghaza et que la guerre génocidaire livrée par l’entité sioniste au peuple frère de la Palestine s’intensifie, emportant de nombreuses vies humaines, ne faisant aucune distinction entre enfants, femmes, personnes âgées, des blessés même qu’elle achève dans les hôpitaux, des centaines de milliers d’hommes et de femmes libres se soulèvent à travers le monde, pour condamner ce génocide et appeler sans cesse à un cessez-le-feu et à la restitution des droits du peuple palestinien qui lutte pour sa terre et sa dignité depuis 75 ans. l’émission «Regard sur le monde» de la Chaîne III continue de consacrer ses grands dossiers à la question palestinienne et aux crimes de guerre, sollicitant bien des voix autorisées, des experts, représentants d’organismes humanitaires internationaux et des politologues, pour éclairer l’opinion publique et se joindre à la mobilisation des médias nationaux qui ne cessent de mettre à nu ces pratiques barbares de l’occupant israélien.
Sabrina Rouabah, journaliste qui anime cette émission, est revenue, cette fin de semaine, sur ce dossier brûlant d’actualité et la situation des palestiniens qui vivent au rythme des bombardements de l’artillerie lourde, les engins blindés sionistes qui se déploient désormais dans le centre et le sud de l’enclave, prenant au piège la population.
Les enfants sont les premières victimes de l’occupation israélienne qui ne fait aucune distinction, les journalistes sont également ciblés, 73 d’entre eux ont été tués depuis le 7 octobre, soulignant la fragilité de cette trêve et la répression atroce à laquelle est soumise, de nouveau, la population de Ghaza, notamment le quartier de Khan Younès, où les populations ont passé une nuit d’horreur. Une seule frappe sur une école abritant des Palestiniens déplacés a été bombardée, faisant au moins 30 morts, mardi dernier.
James Elder, le porte-parole du Fonds des nations unies pour l’enfance (Unicef), qui se trouvait non loin de l’hôpital Nacer où ont été transférées les victimes, raconte : «La trêve est terminée, nous entendons des bombardements. Je suis dans un hôpital où il vient d’y avoir une frappe à 50 m d’ici, c’est le plus important hôpital en fonction à Ghaza, il est à 200% de ses capacités. Le système de santé est complètement dépassé et l’hôpital ne peut plus accueillir des enfants avec des blessures de guerre, il y a des enfants partout. Je ne peux plus vous dire à quel point les capacités des hôpitaux ont diminué, ces dernières semaines, on ne peut plus voir des enfants avec des blessures de guerre, des brûlures, des débris d’obus déchiquetant leurs corps et des membres amputés, c’est une guerre contre les enfants.»
Amdjad Chihak, professeur des sciences politiques à l’université d’El-Qods, estime qu’«après 60 jours de guerre contre la bande de Ghaza, le bilan est lourd : plus de 20.000 martyrs, 45.000 blessés et des milliers de cadavres. 10.000 frappes aériennes sur la bande de Ghaza, 40.000 tonnes de bombes larguées sur la population de Ghaza. La situation est insupportable et la guerre continue. La communauté internationale regarde tous ces crimes, ces viols du droit international sans rien faire. Les Américains et les pays occidentaux qui autorisent ces crimes continuent à défendre un état colonial en profitant de la division du monde arabo-islamique pour perpétuer ces crimes».
Fayçal Jalloul, politologue, spécialiste du Proche et moyen-Orient, s’exprime sur la trêve : «le problème qui se pose, c’est qu’on peut faire une trêve dans une perspective de paix, de solution ou d’une victoire supposée, mais il n’y a pas à l’horizon des signes d’une victoire possible d’Israel dans cette guerre, il n’y a pas aussi une perspective politique pour régler le problème palestinien et pas une volonté internationale pour mettre un terme au conflit. Une trêve peut-être pour alléger le drame des palestiniens de Ghaza.»
Pour Hamas, dans une déclaration de Salah Larouri, «on ne va négocier ni avec Israël ni avec quiconque sauf si on met fin à cette guerre».
Entre-temps, 7.000 enfants ont été tués dans ce qui ne peut relever que d’un crime contre l’humanité, et Ghaza la martyre vit sans doute ses heures les plus sombres, profondément attachée à sa terre et fière de sa résistance, de tous ses enfants qui résistent et tiennent en respect une des plus grandes armée au monde, aidée par ses alliés occidentaux.

F. Zoghbi

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