L’École nationale supérieure de conservation et de restauration des biens culturels, située au Centre arabe d’archéologie de Tipasa, a lancé un nouveau parcours académique pour l’année universitaire 2025–2026 intitulé «ingénieur d’État en conservation et restauration des biens culturels».
Cette école, placée sous la double tutelle du ministère de la Culture et des Arts et du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a précisé que ce parcours est destiné aux titulaires du baccalauréat avec une moyenne égale ou supérieure à 13, dans les filières sciences expérimentales, mathématiques et technique mathématique.
Selon les informations publiées sur son site internet, la durée de la formation dans ce nouveau parcours est de 5 ans, dont 2 années de formation de base et 3 années de formation approfondie.
L’année universitaire précédente, l’école avait déjà lancé un appel à candidatures pour un master professionnel en conservation et restauration des biens culturels mobiliers, avec une sélection basée sur concours (étude de dossier et entretien), pour 30 places pédagogiques disponibles.
Le nombre d’inscrits à cette école est en constante augmentation : lors de la sixième rentrée universitaire, 20 étudiants ont rejoint ses rangs, contre 4 seulement lors de la première année.
