La visite du recteur de l’Université d’Atatürk, le Pr Omer Comakli, mardi, et sa rencontre avec le recteur de l’université d’Oran2 Mohamed-Ben Ahmed, le Pr Ahmed Chaalal, a été ponctuée par la signature d’une convention de jumelage entre les deux institutions dont les objectifs comprennent l’échange d’enseignants, d’étudiants et de personnel administratif, la création de groupes de recherche en commun, la création de parcours de formation en double diplomation.
Il est question aussi de la participation à des projets de coopération internationale dans le cadre du programme Erasmus+.
Au cours de cette rencontre, le projet en cours de création d’un département de langue turque à la Faculté des langues étrangères a été abordé. Cette convention vise essentiellement l’échange de professeurs, d’étudiants et de personnel administratif, la création de groupes de recherche communs, la mise en place de programmes de formation en double diplôme et la participation à des projets de coopération internationale dans le cadre du programme Erasmus+.
Ces initiatives visent à renforcer les liens académiques et culturels entre les deux institutions et à promouvoir l’excellence dans l’éducation supérieure. Le projet en cours de création concernant un département de langue turque à la Faculté des langues étrangères a été discuté, a-t-on ajouté de même source.
A signaler que la rencontre s’est déroulée en présence du vice-recteur des relations extérieures, M. AmaniI Ismail, de Mekkakia Mehdi Mokhtaria, vice-recteur de la pédagogie, de Salhi Tarik, vice recteur de la planification, de la doyenne de la faculté des langues étrangères, Hamidou Nabila, du doyen de la faculté de droit et des sciences politiques, M. Haddad Mohamed ainsi que de la responsable du centre intensif des langues, Mme Fali Wafaa, accompagnée d’enseignantes de langue turque. Le staff administratif de l’Université d’Ataturk a été représenté notamment par le Dr Taşkın Öztaş et le Pr Ali Çağlar Gȕllȕce respectivemenrt responsable et vice-président du bureau des affaires internationales, du vice-coordinateur du bureau des affaires internationales, et Pınar Uaçak, responsable du programme Erasmus+. Ainsi, les intérêts nationaux sont une question de première importance dans de telles rencontres de diplomatie scientifique.
Tahar Kaidi
