Examen de fin de cycle primaire : coup d’envoi à partir de Bordj Badji-Mokhtar

DR
DR

Plus de 853.000 élèves de l'ensemble du territoire national passent l'examen qui portera sur trois épreuves dans les matières principales, arabe, mathématiques et français. Selon l'Office national des examens et concours (ONEC), le nombre de candidats a atteint 853.391, dont 436.469 garçons et 416 922 filles, répartis sur 14.472 centres au niveau national. Dans la wilaya frontalière de Bordj Badji-Mokhtar, 994 candidats répartis sur 13 centres passent cet examen que supervisent 207 encadreurs.
Les mesures nécessaires ont été prises pour assurer le bon déroulement, notamment la climatisation des salles et le respect strict du protocole sanitaire. M. Ouadjaout a inspecté une série de structures et s’est enquis de la situation du secteur dans cette wilaya frontalière.

Soutien aux enseignantes  agressées

Le ministre a donné dans la wilaya d’Adrar voisine, le coup d’envoi de la séance de l’après-midi.
Il a salué mercredi, depuis Adrar, les efforts fournis par les personnels de l’éducation pour l’organisation des examens et la clôture de la saison scolaire dans de bonnes conditions. «Toutes les mesures pour le bon déroulement des examens ont été prises, notamment le strict respect du protocole sanitaire», a-t-il affirmé lors du lancement, l’après-midi depuis l’école primaire Malek-Bennabi à Adrar, de l’épreuve de langue française. Le ministre a indiqué que «le choix de la wilaya de Bordj Badji-Mokhtar porte plus d’une signification symbolique, notamment dans cette jeune collectivité qui a relevé le défi de réussir cet évènement pédagogique national».
ll a, dans ce cadre, salué les efforts fournis par le personnel de l’éducation, notamment les partenaires sociaux locaux qui «ont montré un esprit de responsabilité et contribué à faire réussir ce rendez-vous pédagogique officiel et parachever la saison scolaire actuelle dans de bonnes conditions».
«Je condamne vigoureusement, en tant qu’enseignant avant d’être ministre, la lâche agression dont ont été victimes des enseignantes à Bordj Badji-Mokhtar», a réaffirmé le ministre, avant de souligner que «l’enseignant est une ligne rouge et il n’est point permis de toucher, d’une manière ou d’une autre, à sa dignité». «J’ai rencontré les enseignantes et leurs parents et je les ai assurées de les accompagner avec toutes les mesures pour rétablir leurs droits», a affirmé M. Ouadjaout, avant d’ajouter que les efforts se poursuivent au niveau de son département pour élaborer le statut des personnels du secteur de l’éducation nationale.

///////////////////////////////////

Contenu des épreuves
Des sujets abordables

C’est dans une ambiance enthousiaste que les élèves de 5e année primaire ont passé, mercredi, les épreuves de fin de cycle. Une année scolaire qui a nécessité l’instauration de mesures exceptionnelles pour assurer son bon déroulement.
En effet, cet examen, qui sanctionne les cinq premières années du cycle primaire, intervient en pleine pandémie, et donc dans le respect des mesures de prévention et de protection contre la Covid-19.
Mercredi, les centres d’examen ont ouvert tôt le matin pour accueillir les candidats. A l’école primaire Fatima-Zohra-Melil de Cheraga, tout a été mis en place pour assurer le déroulement des épreuves. Les listes des candidats et leur affectation ont été affichées à l’entrée et des agents prennent la température de l’élève avant de l’orienter vers sa classe. Munis de leur carte d’identité scolaire et de leur convocation, les candidats ont commencé à affluer tôt le matin, bien déterminés à décrocher cet examen pour accéder au cycle supérieur.
Rencontrés devant la porte du centre, les jeunes candidats accompagnés par leurs parents se sont dits prêts à passer les épreuves. «Nous avons terminé tôt le programme et nous avons beaucoup révisé avec les enseignants», explique Maria, qui dit n’éprouver aucun stress.
Fayçal, pour sa part, exprime sa crainte par rapport à l’épreuve de langue arabe, «je trouve toujours des difficultés dans l’expression écrite».
Les parents qui se trouvaient sur les lieux confirment que l’année scolaire s’est bien déroulée malgré les mesures instaurées pour endiguer le risque de propagation du virus. «Les enseignants comme les élèves se sont adaptés à la situation, ce qui a permis de réduire les risques de propagation et d’achever le programme», souligne une enseignante venue pour rassurer ses élèves avant le début des épreuves. «Je suis aussi stressée que les parents», nous a-t-elle confié, ajoutant que cet examen n’est pas une sanction mais une sorte d’évaluation du parcours primaire. Les élèves de 5e sont encore jeunes, c’est la raison pour laquelle il y a eu l’examen blanc pour les initier à cet examen, en plus des évaluations tout au long de l’année. Conformément au planning établi, les élèves ont d’abord passé les épreuves de langue arabe et de mathématiques dans la matinée et celle de langue française dans l’après-midi. Les questions ont porté sur les cours dispensés en classe tout au long de l’année scolaire qui a débuté, faut-il le rappeler, le 21 octobre pour le cycle primaire. Notons que le nombre de candidats à cet examen a atteint 853.391 élèves, dont 436.469 garçons et 416.922 filles, répartis sur 14.472 centres d’examen au niveau national.
A noter que pour assurer le bon déroulement de cet examen, pas moins de 62.400 policiers ont été mobilisés à travers le territoire national. A cet effet, un plan sécuritaire préventif a été mis en place par la Direction générale de la Sûreté nationale qui prévoit la sécurisation des différents centres d'examen et leurs périmètres et l'escorte des sujets d'examen et des feuilles de réponse, et ce, en coordination avec les services de l'Education nationale.
Kamélia Hadjib

///////////////////////////////////

LE DIRECTEUR DE L’éDUCATION D’ALGER-EST
«Le système de groupe a porté ses fruits»

Le directeur de l'éducation d’Alger Est a affirmé que toutes les mesures ont été prises pour la réussite de l'examen selon un protocole sanitaire strict, recommandé par le comité scientifique de suivi de la pandémie.
Concernant l'aspect organisationnel, Nadir Khansous indique que ses services ont tenu trois réunions de coordination avec les services de la wilaya d'Alger qui chapeaute l'opération ainsi que les secteurs de la santé, de la protection civile, de l'environnement et des travaux publics pour assurer le déroulement des examens dans des conditions normales.
Il précise à ce titre que tous les centres d'examen étaient prêts à recevoir les élèves dans les meilleures conditions, le ministère détenant suffisamment d'expérience pour organiser les examens dans de bonnes conditions malgré la situation sanitaire difficile. «Cette année, toutes les mesures ont été prises et les moyens ont été mobilisés pour assurer l'application du protocole sanitaire».
Il ajoute que tous les établissements ont bénéficié d'aides financières pour acquérir les moyens de prévention et de protection contre le Covid-19, outre les opérations de désinfection, ainsi que les réservoirs d'eau, la préparation de l’infirmerie avec des médecins et des infirmières qui interviennent en cas de nécessité.
Il dira que les élèves du primaire ont passé l'examen de 5e normalement, grâce à l'expérience de l'examen blanc.
«Ils savaient donc comment utiliser les feuilles de réponse et la méthode de lecture des questions, ce qui est important pour réussir le premier examen de leur parcours éducatif». En ce qui concerne l'année scolaire, le responsable déclare que les élèves ont bénéficié de conditions d’enseignement positives grâce au système de groupe. Auparavant il y avait des classes de 45 élèves, ce qui réduisait les chances d'apprentissage. Pour ce qui est de la moyenne de passage, le responsable de l'éducation souligne que celle-ci ne sera pas revue à la baisse, rappelant que la moyenne de passage pour le primaire est de 5/10 et 10/20 pour le moyen et le secondaire.
Il a, à cet égard, précisé que les établissements qui ont connu des mouvements de grève ont pris en compte cette situation en retardant les examens blancs, jusqu'à ce que tous les cours programmés soient dispensés pour ensuite passer l'examen normalement.
Salima Ettouahria

///////////////////////////////////

Béjaïa
Respect du protocole sanitaire

L’examen de fin du cycle primaire s’est déroulé mercredi à travers les 343 centres d’examen répartis à travers les communes de la wilaya. 17.506 candidats dont 8.934 garçons et 8.522 filles ont subi les épreuves d’examen dans de bonnes conditions et dans le respect total des mesures sanitaires avec la distanciation physique et le port du masque. Tous les moyens humains et matériels ont été déployés à travers les centres.
L’examen de 5e année primaire est le premier examen dans la scolarité des élèves, qui leur permettra le passage au moyen.
Le lycée Chahid-Mokrane de Béjaïa est désigné comme centre de correction des sujets et qui se déroulera du 7 au 17 juin, alors que la proclamation des résultats de passage aura lieu le 20 juin courant. Mercredi, les candidats étaient très sereins à la sortie du centre d’examen d’Ihaddadène.
Pour Nacer, «le sujet de langue arabe était à notre portée. Il a traité de la mission de l’enseignant dans l’éducation. Je souhaite pleine réussite à tous mes camarades et moi car nous avons été perturbés durant la scolarité par la situation sanitaire de la Covid-19 mais aussi par les grèves des enseignants qui pensent plus à leur situation professionnelle qu’à celle de leurs élèves».
Par ailleurs, toutes les mesures sécuritaires ont été prises à travers les centres d’examen où 1.200 agents de police de différents grades ont été mobilisés pour sécuriser le déroulement de l’examen et l’acheminement des sujets vers le centre de regroupement.
M. Laouer

///////////////////////////////////

Constantine
22.528 élèves  au rendez-vous

Le wali de Constantine, Ahmed Abdelhafid Saci, a donné mercredi le coup d’envoi officiel de l’examen marquant la fin du cycle primaire, au niveau de l’école primaire Bouhbila, se trouvant dans la cité 5-Juillet.
Accompagnés du directeur de l’éducation nationale (DE) ainsi que des autorités locales, civiles et militaires, le chef de l’exécutif s’est assuré de la conformité du dispositif sanitaire mis en place afin d’assurer la protection et le bien-être des jeunes candidats, tout en n’omettant pas de souhaiter une bonne chance à ces derniers et de saluer les encadreurs présents, ainsi que les staffs pédagogiques et administratifs des 371 établissements accueillant l’épreuve, laquelle, cette année, concerne 22.528 élèves de 5e année primaire.
Au sujet de l’organisation, le DE avait déclaré que 8.858 encadreurs ont été mobilisés pour cette épreuve, avec des prérogatives précises pour chacun des intervenants, de manière à ce que celles-ci se déroulent dans les meilleures conditions.
Concernant les élèves pris en charge par les APC, le wali a donné des consignes strictes aux P/APC en ce qui a trait à leur transport et repas, la DE devant, de son côté, assurer la restauration des membres de l’encadrement, des services de sécurité et des sapeurs-pompiers faisant partie du dispositif mis en place.
I. B.

///////////////////////////////////

Sétif
94.496 candidats

Plus 94.400 candidats se présentent cette année aux examens scolaires de fin d’études du cycle primaire, du Brevet d’enseignement moyen et du Baccalauréat dans la wilaya de Sétif.
Un chiffre révélateur de l’envergure de cette wilaya tant au plan des effectifs qui dépassent aujourd’hui les 438.000 élèves structurés dans les trois paliers que les 1.207 établissements scolaires qui constituent le potentiel infrastructurel dans cette wilaya et témoignent des efforts consentis par l’Etat pour l’accueil sur les bancs du savoir de tous les élèves en âge d’être scolarisés.
Le dernier point animé à cet effet par le directeur de l’éducation, Boushaba Boudjemaa, se veut on ne peut plus rassurant pour les candidats et pour les parents au vu des importantes dispositions prises pour assurer le succès de ces examens dans un contexte marqué par le strict respect du protocole sanitaire, de même qu’un accompagnement pédagogique et psychologique au niveau de tous les centres.
Des examens dont la préparation au niveau local a également a fait l’objet de la plus haute attention du wali, Kamel Abla, qui a instruit les responsables concernés de ne ménager aucun effort pour placer les candidats dans les meilleures conditions jusqu’à assurer leur restauration pour éviter de les perturber.
Une rencontre au cours de laquelle le directeur de l’éducation n’a pas manqué de souligner que les examens se dérouleront aux échéances fixées, ajoutant que rien n’a été laissé au hasard dans la coordination parfaitement assurée avec les partenaires directement impliqués dans le bon déroulement de ces examens.
La première de ces échéances scolaires a été marquée par l’examen de fin de cycle des études primaires, avec 39.525 candidats inscrits dans les 835 écoles primaires de la wilaya, l’école des sourds-muets, ceux de 8 écoles privées et l’école des handicapés visuels.
649 centres ont été mobilisés, encadrés par 9.105 fonctionnaires et enseignants de l’éducation nationale, deux centres de correction et un centre de regroupement sont ouverts pour recevoir les copies. Sur un autre plan non moins important, 67 centres de restauration seront mis à disposition des candidats.
Le BEM qui se déroulera du 15 au 17 juin sera marqué par la présence de 28.385 candidats, dont plus de 15.300 filles au niveau de 105 centres, encadrés par 7.669 fonctionnaires et enseignants. 1.673 candidats répartis sur 11 centres passeront l’épreuve de langue amazighe.
La troisième et dernière échéance scolaire concerne le baccalauréat qui se tiendra du 20 au 24 juin et regroupera 26.586 candidats, dont 15.440 filles qui composeront dans 83 centres.
Cet examen auquel prendront part également 20 candidats aux besoins spécifiques ainsi que des candidats libres, ceux du centre d’enseignement généralisé et des centres de rééducation sera marqué par la présence de 956 candidats à l’épreuve de langue amazighe. 53 centres de restauration seront ouverts pour les candidats.
F. Zoghbi

///////////////////////////////////

Tizi Ouzou
408 centres d’examen

19.707 candidats sont attendus aujourd’hui à Tizi-Ouzou pour passer les épreuves de fin du cursus primaire (5e), apprend-on de la Direction locale de l’éducation qui a assuré que tous les moyens sont réunis pour que cet examen de passage au CEM se déroule dans les meilleures conditions. Cet examen se déroule à travers 408 centres répartis à travers l’ensemble du territoire de la wilaya et sera encadré par 5.440 instituteurs. Il y aura aussi la présence dans ces centres d’examen de médecins, infirmiers et psychologues qui veilleront sur la protection sanitaire et psychologique des élèves, a-t-on assuré de même source. Pour parer à tout risque de contamination à la Covid-19, la Direction de l’éducation a instruit les chefs d’établissements scolaires de veiller au respect strict du protocole sanitaire de prévention contre la propagation de ce virus, notamment la distanciation physique, le port obligatoire de bavette et le gel hydro-alcoolique. Il a été aussi décidé de limiter le nombre d’élèves dans les salles d’examen à 20 seulement.
Bel. Adrar

///////////////////////////////////

Annaba
Plus de 13.100 candidats

13.166 candidats, dont 6.463 filles, se sont présentés mercredi aux épreuves de fin de cycle primaire dans une ambiance particulière, a-t-on appris auprès de la cellule de communication de la direction de l’éducation de la wilaya. 21 élèves à besoins spécifiques (14 malentendants et 7 autistes) figurent parmi les candidats. 217 centres d’examens répartis à travers les 12 communes de la wilaya ont accueilli les candidats encadrés par 3.085 enseignants et administratifs. Toutes les dispositions ont été prises pour faciliter les déplacements et prendre en compte les besoins éducatifs des candidats pendant le déroulement des trois épreuves, à savoir l’arabe, le français et les mathématiques, dans le strict respect des mesures préventives.
Le CEM Babou-Cherif a été retenu pour abriter les corrections des copies.
B. G.

///////////////////////////////////

SIDI BEL-ABBèS
Ambiance bon enfant

Une ambiance bon enfant a prévalu mercredi, à la faveur du dispositif mis en place et scrupuleusement exécuté grâce au suivi assuré par les services de l’éducation.
Une forte mobilisation a été effectivement observée pour la réussite de ces examens. 3.954 enseignants et administratifs ont été réquisitionnés pour encadrer les 278 centres d’examen devant accueillir 14.156 candidats. Même la Sûreté nationale a été de la partie, en déployant un effectif de 500 agents de l’ordre public et officiers pour sécuriser les espaces et les alentours. Aucun détail n’a été occulté pour réunir les conditions d’un bon déroulement après avoir sensibilisé les parents pour une bonne prise en charge morale et psychologique de leurs enfants. Le volet sanitaire a pris le dessus, avec une vaste campagne de désinfection des établissements et l’installation de cellules d’écoute et de veille au niveau de chaque centre. Des instructions fermes furent données pour respecter les règles de prévention et de distanciation, et des médecins et paramédicaux chargés de superviser les opérations de contrôle. «La priorité a été accordée au chapitre de la santé des candidats et des enseignants, évidemment avec une concentration des efforts sur ce registre», déclare le directeur de l’éducation, qui relève la contribution de tous les secteurs, tels la santé, les transports, l’hydraulique, le commerce et la Protection civile, suite aux directives du wali. Au plan pédagogique, les sujets proposés demeurent, de l’avis de nombreux candidats, accessibles et à la portée d’une grande majorité, permettant de miser sur un taux de réussite élevé.
A. B.

///////////////////////////////////

Syndicats
Garantir le bon déroulement

Neuf syndicats autonomes ont appelé à l'impératif de garantir le bon déroulement des examens et d'assurer leur réussite, en reconnaissance aux efforts des élèves, indique un communiqué de ce collectif syndical. «Il a été décidé de ne pas nuire au bon déroulement des examens nationaux et de garantir leur succès, en reconnaissance aux efforts des élèves, au vu d'une année scolaire difficile et exceptionnelle», à l'issue d'une réunion de l'UNPEF, de l'Organisation algérienne des professeurs de l'éducation, du Conseil national autonome des censeurs des lycées (CNACEL), du Conseil d'enseignants des lycées d'Algérie (CLA), du Syndicat algérien des travailleurs de l'éducation (SATE), du Syndicat national autonome des fonctionnaires de l'intendance de l'éducation (SNAFIE), du Syndicat national autonome des conseillers de l'éducation (SNACE), du Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation (SATEF) et du Syndicat national des superviseurs et d'adjoints de l'ducation (SNSAE). Le collectif syndical a appelé, en outre, à la promulgation d'une loi «criminalisant toute agression contre les personnels et les fonctionnaires du secteur de l'Education», suite à celle enregistrée récemment contre 9 enseignantes à Bordj Badji Mokhtar. Concernant les séances de travail bilatérales rassemblant les responsables de l'Education nationale et des représentants des organisations syndicales agréées, du 17 mai à la fin mai dernier», en exécution des orientations du président de la République, et consacrées à l'examen des dispositifs et mécanismes de révision des statuts du secteur et à la prise en charge du volet socioprofessionnel des travailleurs du secteur, le collectif syndical a déploré «l'exclusion» de deux organisations (le SNAFIE et le CNACEL) du dialogue.

Sur le même thème

Multimedia