« Depuis la première édition en 2022, ce congrès est devenu un espace central de dialogue, réunissant décideurs, entrepreneurs, investisseurs, porteurs de projets et tous les acteurs qui façonnent la dynamique de l’écosystème africain ».
C’est ce qu’a déclaré, lors de la 4e Conférence africaine des start-ups, le ministre de l'Économie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Noureddine Ouadah, précisant qu’il s’agit là d’« un lieu où se dessinent les grandes orientations, se construisent les partenariats et se créent des opportunités pour un avenir numérique, souverain et innovant de l’Afrique ».
Le ministre souligne dans ce sens que ce congrès permet de transformer les idées en projets concrets et favorise l’émergence de startups mettant en valeur les talents des jeunes africains sur la scène internationale, sans frontières.
Il affirme que l’Afrique est aujourd’hui en pleine évolution et que « nos jeunes talents et startups sont capables d’innover et de changer le destin de notre continent ».
Selon lui, grâce à un nouveau modèle économique, les communautés africaines peuvent désormais contribuer activement à l’innovation mondiale, ajoutant que ce rendez-vous en est la preuve. « Nous savons que l’avenir de l’Afrique dépend de la capacité de ses startups et de sa jeunesse à innover, à croître et à s’intégrer pleinement dans le monde numérique », a-t-il noté.
Le ministre a rappelé que cet événement constitue le plus grand rendez-vous technologique du continent, lançant un appel à l’ensemble des acteurs africains : s’unir, travailler main dans la main, accélérer le développement et renforcer l’écosystème entrepreneurial dans tous les pays d’Afrique.
Noureddine Ouadah a également salué les efforts remarquables de l’ensemble des composantes de l’écosystème africain, en particulier les jeunes entrepreneurs présents lors de cette édition, porteurs « d’histoires inspirantes » et à l’origine de projets ambitieux, créateurs d’emplois compétitifs et promoteurs d’une souveraineté technologique africaine.
« Nous invitons chacun à penser et collaborer sans limites entre les pays africains. Que ce congrès soit un espace où l’innovation rencontre l’action et où les idées se transforment en projets concrets. L’Afrique doit occuper une place forte sur la carte technologique mondiale », a affirmé le ministre, avant de conclure :
« Travaillons ensemble pour faire de ce congrès une véritable plateforme de réussite pour la jeunesse africaine et pour l’Afrique ».