
El Moudjahid : En tant que technicien, comment évaluez-vous le niveau technique de cette compétition scolaire africaine ?
Ahmed Saïd Soilihi : Le niveau scolaire de cette discipline n’est pas du tout à l’échelle du continent comparativement à l’Asie, l’Europe et l’Amérique.
Que préconisez-vous pour faire évoluer cette discipline en Afrique ?
La création des académies de la spécialité est une condition sine qua non pour la formation des entraîneurs, des arbitres et tous les intervenants dans cette discipline.
Comment avez-vous vécu la compétition à Annaba ?
Tout d’abord, j’étais surpris par la beauté de la ville d'Annaba et l’hospitalité de ses habitants. L’accueil était chaleureux et généreux envers les participants à cette manifestation sportive, première du genre. J’ai beaucoup apprécié la présence massive du public qui n’a pas manqué d’encourager l’équipe algérienne.
Quels seront vos objectifs ?
Cet événement sportif est une opportunité pour nous pour bien préparer les jeux des îles de l’océan Indien en 2027.
B. G.