
«Les positions de l’Algérie, à l’égard de la question liée au droit des peuples à l’autodétermination, sont fondées sur des principes inébranlables, loin de tous les calculs géopolitiques ; ce qui place notre pays à l'avant-garde de la défense du droit à l'autodétermination, en étant un acteur proactif contribuant à la sécurité, la paix et la stabilité régionales et internationales, dans une logique de solidarité fondée sur la légitimité internationale», a souligné, mercredi, le président de l’APN, Slimane Chenine.
Lors de son allocution inaugurale à l’occasion de l’ouverture des travaux de la journée parlementaire portant sur l’importance de la consécration du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, Chenine a soutenu qu’il est «du devoir de tous les pays de contribuer efficacement à faciliter l'exercice de ce droit et de ne pas l'hypothéquer à leurs calculs géopolitiques et économiques». «Les événements survenus à El-Gueguerat ont clairement influencé le processus de résistance du peuple sahraoui, en mettant en échec les stratégies de blackouts médiatiques, de contrevérités politiques et de la tergiversation de la diplomatie marocaine au niveau du Conseil de sécurité», a-t-il fait remarquer.
Soulignant que ce droit rappelle, de par sa formulation et ses dimensions, à l'ONU ses engagements quant à l'impératif de mettre fin à l'occupation illégale des territoires non autonomes et de permettre à leurs peuples d'exercer leur droit à l'autodétermination à travers un référendum démocratique, loin de toute pression, diktat ou coercition, M. Chenine a affirmé qu'il «incombe à tous les pays de contribuer efficacement à faciliter l'exercice de ce droit et à ne pas l'hypothéquer par leurs calculs géopolitiques et économiques».
Il ajoute que la cause sahraouie est plus visible médiatiquement au sein de l’ONU, de l’Union africaine et de toutes les instances internationales qui appellent le Conseil de sécurité à assumer ses responsabilités pour la relance du processus de règlement. Chenine soutient que ce processus doit passer par la nomination d’un Envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU pour le Sahara occidental tout en obligeant le Maroc à respecter le cessez-le-feu conclu en septembre 1991, la protection des civils ainsi que par l’interdiction du pillage des richesses minières et halieutiques.
Le président de l’APN affirme que le SG de l’ONU «doit consulter son conseiller juridique sur le caractère illégal de l’ouverture de représentations diplomatiques dans les territoires occupés du Sahara occidental et ajoute qu’il est nécessaire de permettre à la Minurso d’organiser un référendum d’autodétermination dans les plus brefs délais.
Le président de l’APN a fait part de la volonté d’accompagner l'Assemblée nationale sahraouie dans le renforcement de leurs capacités en matière de formation, de partage des meilleures pratiques parlementaires, notamment au niveau de la diplomatie parlementaire et de coordination des positions dans les cadres parlementaires multilatéraux.
Le président de l’APN a insisté sur le fait que «l’autodétermination est un droit garanti par le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, la résolution onusienne 1514 et les pactes régionaux relatifs aux droits de l’homme dont la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples. S’exprimant sur la déclaration du président américain, Chenine a mis en évidence que celle-ci ne pourra en aucun cas modifier la nature juridique du dossier sahraoui et a dénoncé «un troc irrationnel et immoral auquel a recouru le Maroc à travers la normalisation de ses relations avec l'entité sioniste».
Chenine insiste sur le fait que «le peuple sahraoui est déterminé à poursuivre la résistance légitime, sous toutes ses formes, dans le but de défendre son droit à l’autodétermination et à l’exercice de sa souveraineté sur son territoire». Attaché à ses «droits légitimes intransgressibles, irréductibles et inaliénables», le peuple sahraoui est déterminé à «poursuivre la résistance légitime, sous toutes ses formes, dans le but de défendre son droit à l’autodétermination et à l’exercice de sa souveraineté sur son territoire», a souligné M. Chenine lors de cette journée, organisée par la Commission des affaires étrangères, de la coopération et de l’émigration. Il a confié que «la nature historique, humanitaire, juridique et morale juste de la cause sahraouie, ainsi que l’attachement de ce peuple à ses droits légitimes, sont autant d’éléments qui expliquent le combat continu d’un peuple pacifique, civilisé et patient pour son émancipation et le recouvrement de sa souveraineté». Ce peuple qui «refuse tout complot ciblant ses droits, tels que relevé lors des différentes positions onusiennes, internationales et civiles rejetant la conspiration», a soutenu le président de la Chambre basse du Parlement.
L’ambassadeur de la RASD, Abdelkader Taleb Omar, a salué la position de l’Algérie, et alerte sur la menace à la sécurité sur la région «en raison de la doctrine expansionniste du Maroc», ajoutant que la position du président américain, Donald Trump se situe «en dehors de la légalité internationale».
Soraya Lors de son allocution inaugurale à l’occasion de l’ouverture des travaux de la journée parlementaire portant sur l’importance de la consécration du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, Chenine a soutenu qu’il est «du devoir de tous les pays de contribuer efficacement à faciliter l'exercice de ce droit et de ne pas l'hypothéquer à leurs calculs géopolitiques et économiques». «Les événements survenus à El-Gueguerat ont clairement influencé le processus de résistance du peuple sahraoui, en mettant en échec les stratégies de blackouts médiatiques, de contrevérités politiques et de la tergiversation de la diplomatie marocaine au niveau du Conseil de sécurité», a-t-il fait remarquer.
Soulignant que ce droit rappelle, de par sa formulation et ses dimensions, à l'ONU ses engagements quant à l'impératif de mettre fin à l'occupation illégale des territoires non autonomes et de permettre à leurs peuples d'exercer leur droit à l'autodétermination à travers un référendum démocratique, loin de toute pression, diktat ou coercition, M. Chenine a affirmé qu'il «incombe à tous les pays de contribuer efficacement à faciliter l'exercice de ce droit et à ne pas l'hypothéquer par leurs calculs géopolitiques et économiques».
Il ajoute que la cause sahraouie est plus visible médiatiquement au sein de l’ONU, de l’Union africaine et de toutes les instances internationales qui appellent le Conseil de sécurité à assumer ses responsabilités pour la relance du processus de règlement. Chenine soutient que ce processus doit passer par la nomination d’un Envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU pour le Sahara occidental tout en obligeant le Maroc à respecter le cessez-le-feu conclu en septembre 1991, la protection des civils ainsi que par l’interdiction du pillage des richesses minières et halieutiques.
Le président de l’APN affirme que le SG de l’ONU «doit consulter son conseiller juridique sur le caractère illégal de l’ouverture de représentations diplomatiques dans les territoires occupés du Sahara occidental et ajoute qu’il est nécessaire de permettre à la Minurso d’organiser un référendum d’autodétermination dans les plus brefs délais.
Le président de l’APN a fait part de la volonté d’accompagner l'Assemblée nationale sahraouie dans le renforcement de leurs capacités en matière de formation, de partage des meilleures pratiques parlementaires, notamment au niveau de la diplomatie parlementaire et de coordination des positions dans les cadres parlementaires multilatéraux.
Le président de l’APN a insisté sur le fait que «l’autodétermination est un droit garanti par le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, la résolution onusienne 1514 et les pactes régionaux relatifs aux droits de l’homme dont la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples. S’exprimant sur la déclaration du président américain, Chenine a mis en évidence que celle-ci ne pourra en aucun cas modifier la nature juridique du dossier sahraoui et a dénoncé «un troc irrationnel et immoral auquel a recouru le Maroc à travers la normalisation de ses relations avec l'entité sioniste».
Chenine insiste sur le fait que «le peuple sahraoui est déterminé à poursuivre la résistance légitime, sous toutes ses formes, dans le but de défendre son droit à l’autodétermination et à l’exercice de sa souveraineté sur son territoire». Attaché à ses «droits légitimes intransgressibles, irréductibles et inaliénables», le peuple sahraoui est déterminé à «poursuivre la résistance légitime, sous toutes ses formes, dans le but de défendre son droit à l’autodétermination et à l’exercice de sa souveraineté sur son territoire», a souligné M. Chenine lors de cette journée, organisée par la Commission des affaires étrangères, de la coopération et de l’émigration. Il a confié que «la nature historique, humanitaire, juridique et morale juste de la cause sahraouie, ainsi que l’attachement de ce peuple à ses droits légitimes, sont autant d’éléments qui expliquent le combat continu d’un peuple pacifique, civilisé et patient pour son émancipation et le recouvrement de sa souveraineté». Ce peuple qui «refuse tout complot ciblant ses droits, tels que relevé lors des différentes positions onusiennes, internationales et civiles rejetant la conspiration», a soutenu le président de la Chambre basse du Parlement.
L’ambassadeur de la RASD, Abdelkader Taleb Omar, a salué la position de l’Algérie, et alerte sur la menace à la sécurité sur la région «en raison de la doctrine expansionniste du Maroc», ajoutant que la position du président américain, Donald Trump se situe «en dehors de la légalité internationale».
Soraya Guemmouri