A l’occasion de la commémoration du 64e anniversaire des explosions nucléaires dans le Sud algérien, et en vue de la préservation de la mémoire, le secteur des Moudjahidine a procédé à la signature de plusieurs conventions avec plusieurs départements ministériels qui œuvrent en «harmonie» pour faire de ce patrimoine propre aux Algériens une source de fierté et constituer un capital national sur le dossier de la mémoire. «Des actions étaient en cours de concrétisation au niveau des organismes sous tutelle, à l’instar du Centre national des études et recherches sur le mouvement national et la Révolution du 1er Novembre 1954 (CNERMN 54,), qui coordonne ses travaux avec les différents centres de recherche à travers le territoire national. Il y a eu un recensement de 22 laboratoires dédiés à la recherche en histoire nationale contemporaine et moderne, qui représente un domaine riche pour la valorisation et la promotion de l’écriture de l’Histoire nationale et la coordination entre les différents acteurs », a relevé le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit.
S. A. M.
