Hakim Belahcel, membre de l’Instance présidentielle du FFS : «défendre les intérêts suprêmes de la nation»

À l’expiration, jeudi dernier, du délai légal de dépôt des dossiers de candidatures auprès de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), des formations politiques ont révélé leur incapacité à présenter des candidats au niveau des 1.541 communes que compte le pays.

Entre difficultés à confectionner des listes de candidats, ou l'invalidation de dossiers en raison de la non-conformité des souscriptions d’électeurs exigées par la loi électorale, les responsables des formations politiques soulignent ce qu'ils qualifient "d'entraves".
Membre de l’Instance présidentielle du Front des forces socialistes (FFS), Hakim Belahcel, déclare à El Moudjahid que "le FFS a pris la décision de participer aux prochaines élections locales pour remplir des objectifs politiques majeurs et stratégiques. Au moment où notre pays traverse la période la plus dangereuse de son existence, notre parti se devait d’être, comme à son habitude, aux avant-postes pour défendre les intérêts suprêmes de la Nation algérienne. Il s'agit aujourd'hui de barrer la route aux aventuriers et aux conspirateurs qui veulent attenter à la souveraineté de notre pays pour l'arrimer aux nations par le néocolonialisme, notre parti était conscient des difficultés qu'il allait subir dans cette période pré-électorale".
"Nous avions contesté les entraves bureaucratiques et administratives qui ont émaillé l'opération de collecte de signatures, et les mesures drastiques imposées par la nouvelle loi électorale".
Il souhaite que les autorités contribuent « activement et positivement à améliorer le climat dans cette opération électorale ".
Tahar Kaidi

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