Union interparlementaire, environnement : Ce que dit la Constitution algérienne

La députée à l'APN Farida Ilimi a présenté jeudi à la 145e assemblée de l'Union interparlementaire qui se tient à Kigali (Rwanda), les dispositions introduites par l'Algérie dans sa Constitution pour préserver l'environnement et la nature.
Mme Ilimi a évoqué l’importance de ce thème, déjà traité dans le cadre de la 144e session de l'UIP, mettant en avant le rôle joué par les parlements dans l'accompagnement des gouvernements pour développer une politique s'intéressant aux changements climatiques et aux mutations accélérées en la matière.
La députée a également rappelé «les dispositions constitutionnelles introduites par l'Algérie en vue de préserver l'environnement, la nature, l'être humain et tous les êtres vivants, notamment sur le plan sanitaire».
Elle a rappelé «la création du réseau parlementaire sur le climat et l'environnement installé récemment par le président de l'APN, Brahim Boughali» , donnant un aperçu sur ce mécanisme qui regroupe des parlementaires, des experts et des spécialistes en matière d'environnement.
Le député Mohamed Anouar Bouchouit a présenté l'expérience de l'Algérie en matière de sécurité alimentaire, affirmant que les crises actuelles ont eu un impact sur le monde qui s'est traduit par la hausse des indices des prix et la pénurie de certains produits de base. Le député a également évoqué les opérations de paix et de sécurité aux niveaux régional et mondial, soulignant que «la position ferme de l'Algérie sur les questions justes découle des principes de la Glorieuse révolution ainsi que la défense des droits des peuples à l'autodétermination, un principe pour lequel l'Algérie a plaidé dans tous les fora internationaux».

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