Le ministre de l'Industrie et de la Production pharmaceutique a mis en évidence le fait que les entreprises activant dans le domaine des industries électriques ont contribué à augmenter le volume de la production nationale, chose qui s’est répercutée positivement dans la baisse de la facture des importations (-30%).
Ali Aoun a souligné que les unités industrielles du secteur ont contribué à lancer le processus d'exportation de certains produits électriques locaux vers plusieurs pays, principalement au niveau du continent africain.
Dans ce contexte, il a appelé les acteurs de ce domaine à améliorer leurs capacités productives et à élever le niveau d'intégration nationale afin d'ouvrir des horizons «prometteurs «.
A cet égard, il a annoncé que son département a pris un certain nombre de mesures visant à concrétiser cette stratégie, à travers une feuille de route qui comprend l'organisation de filières des industries électriques par la mise en place du Comité stratégique national de la branche, ainsi que la création d’un Cluster national pour les industries électriques.
Et d’ajouter : «Dans ce cadre, le processus d'élaboration des normes et réglementations techniques visant à protéger le produit national a été engagé et l'accréditation des laboratoires spécialisés dans le contrôle de la conformité et de la qualité du produit importé ainsi que du produit local.
Cette stratégie comprend le développement et le soutien des PME et des Start-up par la mise en place d'infrastructures d'appui et l'élargissement de leurs activités pour encourager la production locale et réduire les factures d'importation, ainsi que l'organisation et la participation à plusieurs événements scientifiques et économiques au niveau national, africain et les niveaux internationaux».
Amel Z.