
La recrudescence des contaminations suscite des inquiétudes quant à ses effets sur le système de santé, mais également sur l'économie qui, comme dans d'autres pays, commence à se remettre des conséquences de la pandémie qui frappe le monde depuis environ deux années.
L’expert et conseiller en économie, Aboubakr Sellami, estime dans ce sens que les effets de la crise sanitaire sur les marchés mondiaux du pétrole rappelle que la plupart des axes du programme du gouvernement contenus dans la loi de finances restent tributaires des prix du pétrole qui connaissent une stabilité confortable depuis l’automne dernier. Il prévient cependant, que «la poursuite de la quatrième vague et l’éventuel recours aux procédures de fermeture dans plusieurs secteurs affecteraient l'économie dans les secteurs de l'emploi, de l'investissement, des exportations, ainsi que le taux de croissance qui dépend aussi des revenus des hydrocarbures». L’économiste considère que «la réussite du décollage économique annoncé par le président de la République est tributaire du rejet de la fermeture qui affecte l'activité économique et les revenus de l'État». Il propose à ce titre l'adoption de politiques «plus strictes» concernant le respect des mesures préventives. «On doit également imposer la vaccination dans certains secteurs pour assurer la continuité des activités et la dynamique économique. La fermeture n'est plus une solution appropriée après plus de deux ans de mesures sanitaires».
Pour sa part, l'économiste, Abderrahmane Hadef, estime que la crise sanitaire exceptionnelle aura, surtout après la propagation du variant Omicron, un «grand impact» sur la relance de certaines activités, telles l'industrie et l’agriculture, outre son influence sur les entreprises de services.
«Cette situation exceptionnelle requiert une nouvelle vision de la gestion à travers l'introduction de nouveaux outils comme le télé-travail, en plus de trouver des solutions pour les ressources humaines en raison des congés exceptionnels. L'entreprise, source de richesse, souffre toujours de problèmes financiers, ce qui appelle à de nouvelles mesures de soutien en matière de paiement des cotisations sociales mais aussi d’impôts».
L’économiste propose de fixer à ces entreprises une échéance de deux ans pour rembourser leurs dettes, ce qui les conforterait dans cette démarche, tout en les exonérant des pénalités de retard qui créent une forte pression sur les finances de ces établissements. Interrogé au sujet de la disponibilité des matières premières, il dira qu'elles sont devenues rares, notamment après la réorganisation du commerce extérieur en Algérie. «La fabrication dans de nombreuses entreprises se faisant à partir de ces matières premières, leur manque a fortement affecté l'activité des entreprises».
Pour remédier à cette situation, il faut avoir une vision claire du commerce extérieur qui doit être réorganisé avec de nouvelles procédures douanières et des taxes temporaires supplémentaires, tout en veillant à ce que cela n'impacte pas l'activité des entreprises». Abordant la dépréciation de la monnaie nationale, l’intervenant estime que cette mesure a clairement contribué à l'importation de l'inflation mondiale, ce qui nécessite un contrôle approprié. «Faute de quoi, l'inflation aura des répercussions importantes sur le pouvoir d'achat des citoyens, d’où l’urgence de tenir compte de cet indicateur».
L’expert et conseiller en économie, Aboubakr Sellami, estime dans ce sens que les effets de la crise sanitaire sur les marchés mondiaux du pétrole rappelle que la plupart des axes du programme du gouvernement contenus dans la loi de finances restent tributaires des prix du pétrole qui connaissent une stabilité confortable depuis l’automne dernier. Il prévient cependant, que «la poursuite de la quatrième vague et l’éventuel recours aux procédures de fermeture dans plusieurs secteurs affecteraient l'économie dans les secteurs de l'emploi, de l'investissement, des exportations, ainsi que le taux de croissance qui dépend aussi des revenus des hydrocarbures». L’économiste considère que «la réussite du décollage économique annoncé par le président de la République est tributaire du rejet de la fermeture qui affecte l'activité économique et les revenus de l'État». Il propose à ce titre l'adoption de politiques «plus strictes» concernant le respect des mesures préventives. «On doit également imposer la vaccination dans certains secteurs pour assurer la continuité des activités et la dynamique économique. La fermeture n'est plus une solution appropriée après plus de deux ans de mesures sanitaires».
Pour sa part, l'économiste, Abderrahmane Hadef, estime que la crise sanitaire exceptionnelle aura, surtout après la propagation du variant Omicron, un «grand impact» sur la relance de certaines activités, telles l'industrie et l’agriculture, outre son influence sur les entreprises de services.
«Cette situation exceptionnelle requiert une nouvelle vision de la gestion à travers l'introduction de nouveaux outils comme le télé-travail, en plus de trouver des solutions pour les ressources humaines en raison des congés exceptionnels. L'entreprise, source de richesse, souffre toujours de problèmes financiers, ce qui appelle à de nouvelles mesures de soutien en matière de paiement des cotisations sociales mais aussi d’impôts».
L’économiste propose de fixer à ces entreprises une échéance de deux ans pour rembourser leurs dettes, ce qui les conforterait dans cette démarche, tout en les exonérant des pénalités de retard qui créent une forte pression sur les finances de ces établissements. Interrogé au sujet de la disponibilité des matières premières, il dira qu'elles sont devenues rares, notamment après la réorganisation du commerce extérieur en Algérie. «La fabrication dans de nombreuses entreprises se faisant à partir de ces matières premières, leur manque a fortement affecté l'activité des entreprises».
Pour remédier à cette situation, il faut avoir une vision claire du commerce extérieur qui doit être réorganisé avec de nouvelles procédures douanières et des taxes temporaires supplémentaires, tout en veillant à ce que cela n'impacte pas l'activité des entreprises». Abordant la dépréciation de la monnaie nationale, l’intervenant estime que cette mesure a clairement contribué à l'importation de l'inflation mondiale, ce qui nécessite un contrôle approprié. «Faute de quoi, l'inflation aura des répercussions importantes sur le pouvoir d'achat des citoyens, d’où l’urgence de tenir compte de cet indicateur».
Salima Ettouahria
Pour sa part, l'économiste, Abderrahmane Hadef, estime que la crise sanitaire exceptionnelle aura, surtout après la propagation du variant Omicron, un «grand impact» sur la relance de certaines activités, telles l'industrie et l’agriculture, outre son influence sur les entreprises de services.
«Cette situation exceptionnelle requiert une nouvelle vision de la gestion à travers l'introduction de nouveaux outils comme le télé-travail, en plus de trouver des solutions pour les ressources humaines en raison des congés exceptionnels. L'entreprise, source de richesse, souffre toujours de problèmes financiers, ce qui appelle à de nouvelles mesures de soutien en matière de paiement des cotisations sociales mais aussi d’impôts».
L’économiste propose de fixer à ces entreprises une échéance de deux ans pour rembourser leurs dettes, ce qui les conforterait dans cette démarche, tout en les exonérant des pénalités de retard qui créent une forte pression sur les finances de ces établissements. Interrogé au sujet de la disponibilité des matières premières, il dira qu'elles sont devenues rares, notamment après la réorganisation du commerce extérieur en Algérie. «La fabrication dans de nombreuses entreprises se faisant à partir de ces matières premières, leur manque a fortement affecté l'activité des entreprises».
Pour remédier à cette situation, il faut avoir une vision claire du commerce extérieur qui doit être réorganisé avec de nouvelles procédures douanières et des taxes temporaires supplémentaires, tout en veillant à ce que cela n'impacte pas l'activité des entreprises». Abordant la dépréciation de la monnaie nationale, l’intervenant estime que cette mesure a clairement contribué à l'importation de l'inflation mondiale, ce qui nécessite un contrôle approprié. «Faute de quoi, l'inflation aura des répercussions importantes sur le pouvoir d'achat des citoyens, d’où l’urgence de tenir compte de cet indicateur».
L’expert et conseiller en économie, Aboubakr Sellami, estime dans ce sens que les effets de la crise sanitaire sur les marchés mondiaux du pétrole rappelle que la plupart des axes du programme du gouvernement contenus dans la loi de finances restent tributaires des prix du pétrole qui connaissent une stabilité confortable depuis l’automne dernier. Il prévient cependant, que «la poursuite de la quatrième vague et l’éventuel recours aux procédures de fermeture dans plusieurs secteurs affecteraient l'économie dans les secteurs de l'emploi, de l'investissement, des exportations, ainsi que le taux de croissance qui dépend aussi des revenus des hydrocarbures». L’économiste considère que «la réussite du décollage économique annoncé par le président de la République est tributaire du rejet de la fermeture qui affecte l'activité économique et les revenus de l'État». Il propose à ce titre l'adoption de politiques «plus strictes» concernant le respect des mesures préventives. «On doit également imposer la vaccination dans certains secteurs pour assurer la continuité des activités et la dynamique économique. La fermeture n'est plus une solution appropriée après plus de deux ans de mesures sanitaires».
Pour sa part, l'économiste, Abderrahmane Hadef, estime que la crise sanitaire exceptionnelle aura, surtout après la propagation du variant Omicron, un «grand impact» sur la relance de certaines activités, telles l'industrie et l’agriculture, outre son influence sur les entreprises de services.
«Cette situation exceptionnelle requiert une nouvelle vision de la gestion à travers l'introduction de nouveaux outils comme le télé-travail, en plus de trouver des solutions pour les ressources humaines en raison des congés exceptionnels. L'entreprise, source de richesse, souffre toujours de problèmes financiers, ce qui appelle à de nouvelles mesures de soutien en matière de paiement des cotisations sociales mais aussi d’impôts».
L’économiste propose de fixer à ces entreprises une échéance de deux ans pour rembourser leurs dettes, ce qui les conforterait dans cette démarche, tout en les exonérant des pénalités de retard qui créent une forte pression sur les finances de ces établissements. Interrogé au sujet de la disponibilité des matières premières, il dira qu'elles sont devenues rares, notamment après la réorganisation du commerce extérieur en Algérie. «La fabrication dans de nombreuses entreprises se faisant à partir de ces matières premières, leur manque a fortement affecté l'activité des entreprises».
Pour remédier à cette situation, il faut avoir une vision claire du commerce extérieur qui doit être réorganisé avec de nouvelles procédures douanières et des taxes temporaires supplémentaires, tout en veillant à ce que cela n'impacte pas l'activité des entreprises». Abordant la dépréciation de la monnaie nationale, l’intervenant estime que cette mesure a clairement contribué à l'importation de l'inflation mondiale, ce qui nécessite un contrôle approprié. «Faute de quoi, l'inflation aura des répercussions importantes sur le pouvoir d'achat des citoyens, d’où l’urgence de tenir compte de cet indicateur».
Salima Ettouahria