Transformation économique, justice sociale et développement durable : l’Algérie s’impose par ses réalisations

  • Finies les promesses sans lendemain. Depuis son arrivée à la tête de l’État, Abdelmadjid Tebboune impose un nouveau rythme : celui de l’action.

Chaque décision prise est suivie, contrôlée et menée jusqu’à son exécution. L’Algérie veut booster ses exportations ? On ouvre les routes, on allège les formalités, on vise de nouveaux marchés, on va vers l’ouverture de zones franches et on diversifie les partenariats. L’Algérie veut que l’eau coule dans les robinets ? Des stations de dessalement surgissent le long de la côte, prêtes à alimenter villes et campagnes. L’Algérie veut garantir sa sécurité alimentaire ? Des milliers d’hectares sont défrichés, irrigués, cultivés, grâce à des investissements massifs. L’Algérie veut un système bancaire performant ? On passe à la digitalisation. L’Algérie veut moderniser son administration ? On passe à la numérisation… Le mot d’ordre est clair : agir vite, frapper fort. Car, derrière chaque projet, c’est l’ambition d’un pays résolument tourné vers l’avenir qui se dessine. C’est l’Algérie qui avance. Aujourd’hui, la plupart des indicateurs économiques sont au vert. Le président Tebboune bat la mesure, en plaçant très haut la barre des ambitions à réaliser, au cours de ce deuxième mandat.

D’abord, il accorde le plus grand prix et intérêt à la réalisation des projets structurants et vitaux. Pour être à l’aise financièrement, un retour aux situations d’excédents des comptes extérieurs a donné lieu à une importante hausse des réserves en devises, lesquelles ont atteint plus de 70 milliards de dollars. Il réitère son engagement à porter le PIB à 400 milliards de dollars pour permettre à l’économie algérienne de compter parmi les économies des pays émergents.

Des progrès significatifs dans tous les secteurs d’activités ont été réalisés avec un impact très positif sur la vie des citoyens. La diversification, érigée en objectif prioritaire pour se libérer de la dépendance au pétrole, est devenue une réalité palpable. Cela s’est traduit par l’augmentation des exportations, notamment vers l’Afrique. Les efforts déployés ont permis une baisse de l’inflation grâce au soutien apporté à point nommé au pouvoir et le maintien des équilibres macroéconomiques.

L’appareil de production fonctionne à plein régime, avec une implication importante du secteur privé en quête de nouveaux relais de croissance au-delà des frontières. Aussi les exportations hors hydrocarbures sont-elles en passe d’atteindre 13 milliards de dollars.

L’amélioration notable du climat d’investissement a eu pour conséquences une hausse nette des projets d’investissement et un développement fulgurant des start-up, avec comme objectif d’atteindre 20 000 start-up d’ici 2029. L’ouverture de plusieurs chantiers, tous secteurs confondus, outre les mégaprojets en cours de réalisation dans le secteur des mines et de la production de fer, de phosphate et de zinc à Gara Djebilet, Tébessa et Béjaïa, ou encore les projets d’infrastructures, notamment la ligne ferroviaire qui reliera le nord du pays à l’extrême sud sont en cours de réalisation.

Dans le domaine du logement, deux millions d’unités, toutes formules confondues, sont programmées.
Le pays vise désormais l’autosuffisance en blé dur d’ici 2027. Le secteur agricole n’a jamais été aussi attractif pour les investisseurs nationaux et étrangers.

Pour le secteur des ressources en eau, la dynamique de l’investissement s’était traduite par le lancement de plusieurs chantiers dans le dessalement et la réception de cinq grandes stations, alors que six autres stations sont programmées. Pour les infrastructures, le président Tebboune place la barre très haut par une vision fondée sur les sacrifices et efforts propres du pays, portés par une volonté forte de compter sur ses propres moyens. Dans ce sens, on peut évoquer l’exemple des projets des stations de dessalement de l’eau de mer comme un exemple probant de la volonté politique. Le fleuron de ces grandes réalisations est également le projet minier de Gara Djebilet, qui promet d’être un pôle économique important dans le Sud.

Le président Tebboune a inscrit la construction et le renforcement du chemin de fer reliant plusieurs régions du pays parmi ses priorités pour le désenclavement et pour faciliter les déplacements aux citoyens ainsi que l’acheminement et l’échange des biens et services.
À cela s’ajoutent la modernisation des axes et zones frontalières et l’amélioration des conditions de vie des populations dans ces zones.

Le visage du pays a bel et bien changé grâce à cette nouvelle manière de gouverner. Au regard du chemin parcouru, l’Algérie n’est plus à l’époque des beaux discours et de la mise en attente de projets mirobolants où la motivation était beaucoup plus terre à terre. Il s’agit désormais de consolider les moyens d’accroître la production, d’être compétitif et d’améliorer davantage le niveau de vie, comme l’a rappelé le président Tebboune lors de la dernière rencontre périodique avec les médias algériens. Il s’agit à terme de donner aux populations et aux entreprises un accès fiable au transport, à l’énergie, à l’eau, aux télécommunications et aux nouvelles technologies. Cela représente autant de chantiers et d’ouvrages qui devraient sceller la modernisation et la transformation structurelle de notre économie, l’amélioration de sa compétitivité, l’intensification des flux commerciaux, la productivité industrielle et agricole et la réduction des inégalités. L’Algérie commence réellement à développer son économie de manière impressionnante.

Selon la Banque mondiale, l’économie algérienne a poursuivi son expansion en 2024, avec une croissance de 4,8% du produit intérieur brut (PIB) hors hydrocarbures, soutenue par des investissements publics importants et une consommation des ménages dynamique.

Le rapport insiste, enfin, sur la nécessité de renforcer le cadre de politique macroéconomique et la gouvernance économique, d’investir dans le capital humain et de promouvoir l’investissement étranger afin de faciliter la diffusion des technologies productives et des pratiques de gestion performantes, autant de leviers essentiels pour accompagner la transition des pays à revenu intermédiaire vers le statut de pays à revenu élevé.

La diplomatie algérienne est passée de la représentation à l’influence pour une approche prônée par le président de la République en faveur d’une action diplomatique servant, en premier lieu, les intérêts suprêmes de l’Algérie, tout en œuvrant à l’établissement de partenariats stratégiques, à l’instar de ceux actuellement en cours avec la Chine et de nombreux pays africains et arabes. Sur le plan international, le président Tebboune s’est affiché comme un grand défenseur des intérêts politiques, économiques et sécuritaires de l’Afrique. Il est aussi un militant infatigable pour qu’un pays africain soit membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies ou de l’Union africaine au G20.

De nombreux observateurs affirment qu’il a fait rayonner la diplomatie algérienne sur le plan international par sa diplomatie engagée dans la résolution des conflits en Afrique et ailleurs. L’Algérie a refondé sa politique en direction de l’Afrique, en développant une vraie politique de commerce et d’investissement. Le poids de l’Algérie n’est plus à montrer quand on sait l’intérêt qu’elle accorde aux mégaprojets comme le gazoduc Nigeria-Niger-Algérie, la Transsaharienne et le réseau de fibre optique… des projets dont les retombées positives sont nombreuses pour tout le continent.

F. B.

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