L'Agence national du Sang (ANS) a réitéré, par la voix de sa directrice générale, Lynda Ould Kablia, son appel aux citoyens, âgés de 18 à 65 ans, pour faire don de leur sang aux malades ayant un besoin urgent de cette substance vitale, soulignant la poursuite de l'activité des centres de transfusion sanguine en dépit de la propagation du Covid-19.
Dans une déclaration à l'APS, la DG de l'ANS a appelé tous les citoyens à se rapprocher des 241 centres du pays pour faire don de leur sang aux malades nécessitant une transfusion, particulièrement en cette période de pandémie de Covid-19 marquée par une forte propagation du variant Omicron, et qui pourrait freiner les donneurs de sang par peur d'être contaminés. La même responsable a déploré le déficit important enregistré dans les réserves de sang au niveau des centres nationaux en raison de la réticence des donneurs durant cette période, ce qui met en danger la vie de certains malades souffrant d'un besoin urgent de sang et de plaquettes, notamment ceux qui sont hospitalisés.
Mme Ould Kablia a rassuré les donneurs de sang que l'opération ne comportait aucun risque de contracter "une maladie ou un virus" sachant que tous les instruments utilisés sont stérilisés et que toutes les mesures préventives contre le Covid-19 sont appliquées, affirmant qu'il n'y a à ce jour aucun produit ni médicament dans le monde qui peut remplacer le sang.
Elle a rappelé qu'à chaque hausse des cas de Covid-19, un manque de donneurs est enregistré comme ce fut le cas durant la 3e vague en 2021 et actuellement avec la 4e vague au cours des dernières semaines, soulignant que les réserves de sang ont baissé de 50% durant ces deux vagues avant de reprendre une fois que la situation se stabilise.
Dans une déclaration à l'APS, la DG de l'ANS a appelé tous les citoyens à se rapprocher des 241 centres du pays pour faire don de leur sang aux malades nécessitant une transfusion, particulièrement en cette période de pandémie de Covid-19 marquée par une forte propagation du variant Omicron, et qui pourrait freiner les donneurs de sang par peur d'être contaminés. La même responsable a déploré le déficit important enregistré dans les réserves de sang au niveau des centres nationaux en raison de la réticence des donneurs durant cette période, ce qui met en danger la vie de certains malades souffrant d'un besoin urgent de sang et de plaquettes, notamment ceux qui sont hospitalisés.
Mme Ould Kablia a rassuré les donneurs de sang que l'opération ne comportait aucun risque de contracter "une maladie ou un virus" sachant que tous les instruments utilisés sont stérilisés et que toutes les mesures préventives contre le Covid-19 sont appliquées, affirmant qu'il n'y a à ce jour aucun produit ni médicament dans le monde qui peut remplacer le sang.
Elle a rappelé qu'à chaque hausse des cas de Covid-19, un manque de donneurs est enregistré comme ce fut le cas durant la 3e vague en 2021 et actuellement avec la 4e vague au cours des dernières semaines, soulignant que les réserves de sang ont baissé de 50% durant ces deux vagues avant de reprendre une fois que la situation se stabilise.