
Depuis son accession à la magistrature suprême, l’action du Président Abdelmadjid Tebboune s’inscrit avec la même détermination dans le sens de la poursuite de l’ambitieux programme de réformes destiné à baliser l’édification de l’Algérie nouvelle reposant sur les principes de justice sociale, tels que prônés par l’Islam et dans le respect des libertés fondamentales et de la protection des multiples acquis sociaux, toutes catégories confondues, notamment la préservation du pouvoir d’achat et l’équilibre régional, et ce quelle qu’en soit la conjoncture, notamment lors de la pandémie de coronavirus où l’Etat a fait jouer pleinement les ressorts de la démocratie sociale. Ces réformes menées toujours avec raison sont marquées au coin par la nécessité impérieuse de laisser aux générations montantes un pays en bonne santé financière et économique, à même de s’inscrire avec le minimum de risques dans les grandes mutations mondiales, dans le cadre d’un développement durable et responsable. Logement, emploi, retraite, éducation, santé… pour ne citer que cela, l’Etat s’attache pleinement à promouvoir un développement social exhaustif et à apporter des réponses concrètes aux aspirations populaires, plus particulièrement celles des jeunes qui se résument essentiellement dans le triptyque éducation-emploi-logement. Indéniablement, des efforts colossaux sont déployés dans ces trois volets, sans pour autant que les autres soient négligés, loin s’en faut. Pour le seul domaine du logement, il n’est que de voir les milliers d’habitations qui sont érigées partout à travers le pays, toutes formules confondues, en commençant par le logement social qui a fait le bonheur de milliers de foyers. S’agissant de l’emploi, la mise en œuvre et l’amélioration constante de mécanismes d’insertion professionnelle adaptés à la spécificité de la demande et en prise sur les besoins du marché, ont attiré l’intérêt de plusieurs institutions internationales qui n’ont pas manqué de saluer leur caractère innovant. Aujourd’hui, l’on s’éloigne de la création formelle d’emplois sans réelles retombées économiques, de sorte que le travail ait un lien direct avec les besoins de l’entreprise et s’inscrive réellement dans la dynamique de développement, et plus singulièrement celle du développement local, apportant ainsi sa quote-part à l’éradication des zones d’ombre. S’il est du ressort des institutions de formation de concocter des panels réellement attractifs, il reviendra aux entreprises de créer des activités nouvelles avec des investissements humains inscrits dans la durée et de réelles prises de risque, en associant l’ensemble des partenaires sociaux. Notre potentiel de jeunes constitue, à n’en point douter, un véritable gisement de compétences qui ne demande qu’à être mis en valeur au service du pays, et les multiples mesures d’accompagnement décidées par le président de la République n’en seront que plus bénéfiques, confortées par les mesures prises pour favoriser le pouvoir d’achat et débloquer le lourd carcan bureaucratique qui continue de gripper l’application totale des décisions du président de la République.
K. O.