Le renforcement de l’économie nationale et l’amélioration du service public demeurent au cœur des priorités du gouvernement, qui sont déclinées en plusieurs chantiers, que ce soit dans l’industrie, l’agriculture, les services, ainsi que les commodités liées à la vie quotidienne des citoyens, comme le logement et l’approvisionnement en eau potable.
Des investissements sont opérés dans ces domaines, afin de poursuivre la stratégie visant à créer de la richesse et de l’emploi. Le chemin le plus sûr pour réaliser ces projets est celui de procéder à une exploitation rationnelle de toutes les ressources existantes, en luttant contre le gaspillage. Que ce soit pour les matières premières ou pour les ressources humaines, le mot d’ordre est celui de ne négliger aucun ingrédient pour la concrétisation des projets structurants inscrits à l’agenda. C’est de cette manière que les investissements majeurs sont optimisés pour améliorer le rendement et favoriser l’augmentation du PIB. Le gouvernement et le Parlement collaborent pour parvenir à la concrétisation de ces objectifs, et le projet de la loi de finances pour 2026 témoigne de cette volonté de renforcer les assises du programme de développement, à travers des mesures coordonnées et cohérentes. L’édification des zones industrielles, la valorisation des périmètres agricoles et la poursuite des chantiers dans les domaines de la santé et de l’habitat témoignent de l‘intérêt croissant de l’État, pour accompagner le progrès enregistré dans ces domaines et dans bien d’autres encore. Ces démarches éloignent les menaces et les risques qui pèsent sur des secteurs clés comme celui de l’économie, au vu des crises successives qui ont secoué la planète évitant que leurs répercussions ne puissent atteindre la sphère domestique de la production et de la consommation. Des témoignages des institutions africaines et internationales font état de la bonne tenue de divers indicateurs, comme celui du développement humain. Récemment, c’est le système de santé et de la production pharmaceutique qui ont bénéficié de notation satisfaisante. Le même constat est aussi valable pour le secteur de l’habitat. L’État prend aussi à bras-le-corps d’autres dossiers, pour renforcer la souveraineté énergétique, la sécurité des circuits financiers et la stabilité du front social. Dans ce cadre, l’éducation, l’amélioration de la qualité de vie et l’environnement, ainsi que la sécurité n’ont jamais échappé à la vigilance des services de l’État. L’apport des nouvelles technologies est tout le temps sollicité par les opérateurs économiques et institutionnels, afin d’intégrer, au sein du processus de gestion, les innovations permises par l’intelligence artificielle. Ceci n’aurait pu être possible sans la contribution de l’université, grâce à ses laboratoires de recherche.
El Moudjahid