Les préoccupations et les propositions de la Confédération Algérienne du Patronat (CAP), et de la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA), relatives à l’amélioration de la compétitivité des entreprises nationales, étaient, hier, sur la table du ministre du Commerce extérieur et de la Promotion des exportations, Kamel Rezig, a indiqué un communiqué du ministère.
Accueillis à Alger par le premier responsable du secteur de l’exportation, les présidents de la CAP, Tahar Bouzid, et de la CGEA, Nacer Berkani, ont exposé au ministre leurs préoccupations et leurs approches visant à améliorer davantage la compétitivité des entreprises nationales.
Le ministre a, à cet effet, insisté sur la nécessité d’échanger les propositions et les visions opérationnelles en vue de prendre en charge toutes les préoccupations soulevées. «Les portes du département du Commerce extérieur demeurent toujours ouvertes et à l’écoute de toutes les initiatives ayant pour but le renforcement de la compétitivité des entreprises nationales productrices. La facilitation des opérations d’exportations et d’importations, conformément aux orientations du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, constitue l’objectif majeur de cette démarche participative», a souligné Rezig. Le communiqué a mentionné que cette série de rencontres consultatives, initiées par le ministre avec les divers organismes et organisations professionnels, vise surtout à multiplier les contacts et à renforcer la coopération entre le département ministériel et les acteurs professionnels, ce qui devrait favoriser une meilleure gestion et faciliter l’obtention des résultats escomptés.
Pour leur part, les présidents de la CAP et de la CGEA ont tenu à saluer la méthodologie du ministre, qui opte, selon eux, pour le dialogue et l’échange avec les hommes d’affaires. Ils ont, à cette occasion, exprimé leur disponibilité permanente à se concerter et à communiquer avec les différents opérateurs économiques et industriels, réitérant ainsi le soutien des deux confédérations aux efforts ministériels. Cet accompagnement, poursuivent-il, ne peut être que bénéfique pour la production et l’économie nationales, leur donnant plus de visibilité à l’international.
Z. D.
